Suite à des soucis électriques (un appareil électrique qui a fait sauter un disjoncteur différentiel), nous découvrons avec surprise que quasiment toutes les lumières intérieures de la maison se coupent avec un seul disjoncteur divisionnaire.
Nous contactons le CONSUEL en janvier 2006, qui nous apprend qu’il n’y a pas eu de contrôle réalisé sur notre habitation et qu’aucune demande de labellisation PROMOTELEC n’a été effectuée par le constructeur. Il nous conseille de faire le point avec notre constructeur.
Devant un constructeur et un électricien qui font la sourde oreille, nous réclamons au CONSUEL, en avril 2006, un contrôle de l’installation électrique de notre maison, et nous informons notre constructeur de notre démarche.
Bizarrement, l’électricien se réveille subitement et souhaite passer à la maison pour vérifier deux ou trois points, ce que nous refusons.
Un contrôleur se présente en mai 2006. Il sera constaté 5 points de non-conformité à la norme de sécurité NF C 15-100 (sans parler du non respect des points exigés par Promotelec) :
• Nombre de points lumineux trop important par circuit (11 au lieu de 8 ; 5 pour Promotelec),
• Nombre de prises de courant trop important par circuit (11 au lieu de 8 ; 5 pour Promotelec),
• Absence de mise à la terre d’une partie du tableau électrique,
• Disjoncteurs des planchers chauffants insuffisamment puissants,
• Absence du circuit spécifique pour le congélateur (relié comme simple prise de courant).
Il manquait également le plan électrique.
Ces différents points seront rectifiés par l’électricien, après relance du CONSUEL pour le circuit spécifique congélateur (le plan électrique n’a pas été remis).
Une maison invendable,
qui ne peut être louée et qu'il est pour l'instant impossible d'aménager ou d'agrandir... (les artisans refusant d'intervenir sur une telle construction).
En procédure depuis 2006 ...
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